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chroniques
Dans La soif des cités, Oranne passe de la peur à la liberté en découvrant la force de la résistance. Les dirigeants d’Orbis et leurs soldats, les Myrmidons, incarnent la soif de pouvoir et la violence. À l’inverse, le peuple d’Anaklia, ainsi que Perséa et Elios, lui révèlent l’espoir et la solidarité. Le roman montre que la vraie soif est celle de justice et d’humanité.
L’actrice a crée un univers dystopique aride et oppressant, où la pénurie d’eau rend chaque instant vital. Les cités, sombres et étouffantes, symbolisent la peur et la domination, tandis que les terres d’Anaklia offrent un contraste de lumière, de liberté et d’espoir. Cette opposition renforce l’ambiance générale du roman : un monde dur, tendu, mais traversé par des éclats d’humanité et de résistance. L’atmosphère soutient ainsi la tension et l’émotion de l’histoire.
J'ai adoré cette lecture, la plume...
L’histoire suit Oranne, jeune femme traumatisée, dans un monde où l’eau est rare et les cités ennemies se disputent les ressources. Elle fuit Orbis, cité oppressante, vers Anaklia, territoire libre, où elle découvre solidarité et espoir. Les événements clés — la violence d’Orbis, ses rencontres et son engagement dans la lutte pour la justice — transforment Oranne de survivante à résistante. L’intrigue mêle tension, aventure et quête de liberté.
Parfait j'aurais rien changer
J'ai passé un bon moment avec ce livre, je l'ai dévoré, je vous remercie pour cette découverte
Note finale