27 juil. 2020
Portrait de deux musiciens, traversé par un chat, Paùl Jack bouscule la langue, secoue les modes et les hiérarchies, embrasse l’époque.
Toile chamarrée aux multiples nuances, il enveloppe le lecteur, l’accompagne au soleil comme dans la tempête, le protège ou l’expose, mais ne le quitte plus.
« Un édifice, un mille-feuille de sensations et de sentiments. Une écriture de poète affranchie des conventions narratives. Elle touche par la pudeur de sa mélancolie, par sa fantaisie, par l’opacité réaliste qui nous renvoie à l’inconnaissable de l’objet aimé. »
Françoise Grard