Cette douce voix masculine me trouble. Pourquoi ? Comme si le son revenait d’un songe, d’un lointain souvenir, d’un passé qui tenterait de percer à nouveau. Que signifient ces apparitions soudaines, intervenues depuis ce fameux jour où je pris la décision de créer ce magazine. Qui est cette demoiselle ? Qui est cette silhouette masculine ? Pourquoi cette impression de ressentir ce qu’il vit et d’entendre ce qu’il pense ? Tant de zones d’ombres ont masqué ma vie.
Femme d’affaires à l’avenir prometteur, sans le savoir, en proposant un poste de commercial à ce charmant inconnu, je viens de mettre le doigt dans un engrenage qui peu à peu va m’amener à un réveil douloureux, cinglant comme une lanière, tranchant comme un poignard, piquant comme une flèche en plein cœur. À la réalité perdue au fond d’un abîme creusé par une stupide amnésie… L’issue de cette aventure ne sera hélas pas celle que je présentais
« Couchés sur un bout de papier. Tapés sur une note de téléphone. C’est une fois les mots allongés, alignés, accordés que je prends vie. En rythme avec le cœur de celui qui rédige. Un ensemble de lettres, d’idées, de sentiments et de maux. Je suis la trace, le souvenir d’un moment de vie.
C’est une fois les mots allongés, alignés, accordés que je prends vie. Lorsque finalement sa miséricorde devient ma naissance.
Ô échotière des sentiments, viens noyer ton chagrin dans mes pages que j’apporte à leur connaissance, tous ces démons qui gardent ton âme. »
Yaël, fils unique d’un célèbre luthier du Moyen-Orient, vit à Maaloula, un village de Syrie, niché dans la montagne. Son père souhaite qu’il reprenne l’atelier de lutherie. Ce n’est pas sans compter sur le rêve de Yaël qui est de devenir écrivain en France. Que décidera-t-il de faire : réaliser ses rêves ? Écouter son père ? Dans ce premier roman, l’auteure nous immerge avec un réalisme baigné de poésie, dans la vie de ce jeune garçon, depuis son enfance syrienne jusqu’à son arrivée en France. On se laisse porter à découvrir une Syrie avant/après, brisée par la guerre, mais aussi l’intégration du jeune Yaël à la culture française.
Yaël, fils unique d’un célèbre luthier du Moyen-Orient, vit à Maaloula, un village de Syrie, niché dans la montagne. Son père souhaite qu’il reprenne l’atelier de lutherie. Ce n’est pas sans compter sur le rêve de Yaël qui est de devenir écrivain en France. Que décidera-t-il de faire : réaliser ses rêves ? Écouter son père ? Dans ce premier roman, l’auteure nous immerge avec un réalisme baigné de poésie, dans la vie de ce jeune garçon, depuis son enfance syrienne jusqu’à son arrivée en France. On se laisse porter à découvrir une Syrie avant/après, brisée par la guerre, mais aussi l’intégration du jeune Yaël à la culture française.
« Couchés sur un bout de papier. Tapés sur une note de téléphone. C’est une fois les mots allongés, alignés, accordés que je prends vie. En rythme avec le cœur de celui qui rédige. Un ensemble de lettres, d’idées, de sentiments et de maux. Je suis la trace, le souvenir d’un moment de vie.
C’est une fois les mots allongés, alignés, accordés que je prends vie. Lorsque finalement sa miséricorde devient ma naissance.
Ô échotière des sentiments, viens noyer ton chagrin dans mes pages que j’apporte à leur connaissance, tous ces démons qui gardent ton âme. »
Carmen travaille dans une maison d’édition. Elle rêve secrètement de tomber sur la perle rare qui lui permettrait d’être reconnue au sein du comité de lecture. Le hasard d’une rencontre va tout bouleverser sur son passage et transformer sa vie solitaire et monotone en aventure humaine hors du commun. Sa quête l’emmènera vers les mots qui vont révolutionner sa vie et celle de tous ses proches.
Ensemble ils vont poser un nouveau regard sur le monde et ouvrir les portes d’une conscience collective ancestrale oubliée. Mais vous le savez déjà, le hasard n’existe pas ! Il n’est qu’une succession de rendez-vous que le destin nous lance. D’ailleurs, pourquoi êtes-vous précisément en train de lire ces mots ? Si, comme Carmen, vous rêvez de pouvoir percevoir l’infini, alors plongez sans crainte dans ce livre.
Mais si vous n’êtes pas prêts à transfigurer vos vies, ne tournez surtout pas ces pages, car elles risqueraient de vous métamorphoser en êtres de lumière !
Une femme, des femmes, la Femme, tour à tour maîtresse, épouse infidèle ou épouse trompée. Ce recueil de nouvelles raconte l’histoire de ces femmes traversant l’infidélité et en quête d’équilibre dans la mouvance de leur vie amoureuse. Dans cet univers, il n’y a ni victimes ni bourreaux, seulement l’enchevêtrement de conditions qui contribuent à révéler l’infidélité sous divers costumes.
Anonyme, proche ou lointaine, la Femme révèle ici les doutes, les blessures, la vulnérabilité, mais aussi la puissance d’un sexe qui se recherche à travers les autres.
Cette douce voix masculine me trouble. Pourquoi ? Comme si le son revenait d’un songe, d’un lointain souvenir, d’un passé qui tenterait de percer à nouveau. Que signifient ces apparitions soudaines, intervenues depuis ce fameux jour où je pris la décision de créer ce magazine. Qui est cette demoiselle ? Qui est cette silhouette masculine ? Pourquoi cette impression de ressentir ce qu’il vit et d’entendre ce qu’il pense ? Tant de zones d’ombres ont masqué ma vie.
Femme d’affaires à l’avenir prometteur, sans le savoir, en proposant un poste de commercial à ce charmant inconnu, je viens de mettre le doigt dans un engrenage qui peu à peu va m’amener à un réveil douloureux, cinglant comme une lanière, tranchant comme un poignard, piquant comme une flèche en plein cœur. À la réalité perdue au fond d’un abîme creusé par une stupide amnésie… L’issue de cette aventure ne sera hélas pas celle que je présentais
Après la mort de son mari, La Marquise prend la tête d’une holding publicitaire. Elle n’a que des idées farfelues, mais qui étrangement fonctionnent à la grande surprise de tous. Jusqu’au jour où elle fait la rencontre de quatre clochards dans le métro. La scène à laquelle elle assiste la bouleverse. Fatiguée de son existence harassante à laquelle elle n’était pas préparée, elle vend subitement toutes ses parts à son chauffeur. Puis elle va rejoindre la bande de clochards, installée dans un pré qui jouxte le CHU de Bicêtre. Les ennuis ne font que commencer car Suzanne, sa sœur, tente tout pour la retrouver. Un des clochards, Nicolas, attrape la tuberculose. Il faut trouver de l’argent pour le soigner. Elle en acquiert de façon surprenante : en chantant dans le Métro. Sa voix et son interprétation ont séduit un mécène. Qu’arrivera-t-il ensuite ?
Après la mort de son mari, La Marquise prend la tête d’une holding publicitaire. Elle n’a que des idées farfelues, mais qui étrangement fonctionnent à la grande surprise de tous. Jusqu’au jour où elle fait la rencontre de quatre clochards dans le métro. La scène à laquelle elle assiste la bouleverse. Fatiguée de son existence harassante à laquelle elle n’était pas préparée, elle vend subitement toutes ses parts à son chauffeur. Puis elle va rejoindre la bande de clochards, installée dans un pré qui jouxte le CHU de Bicêtre. Les ennuis ne font que commencer car Suzanne, sa sœur, tente tout pour la retrouver. Un des clochards, Nicolas, attrape la tuberculose. Il faut trouver de l’argent pour le soigner. Elle en acquiert de façon surprenante : en chantant dans le Métro. Sa voix et son interprétation ont séduit un mécène. Qu’arrivera-t-il ensuite ?