Cléa, une jeune femme confrontée aux critiques incessantes sur son physique, peine à accepter son apparence dans un monde obsédé par la perfection. De son côté, Timothée, marqué par un passé douloureux, vit dans la crainte constante d'être abandonné par ceux qu'il aime. Lorsqu’ils se rencontrent, une connexion fragile mais sincère naît entre eux, les poussant à s’ouvrir peu à peu. Leur relation devient une source de force et d’espoir. Ensemble, Cléa et Timothée apprennent à surmonter leurs peurs et à se construire. À travers des moments de doute, mais aussi de soutien et de découverte, ils entament un chemin vers l'acceptation de soi et des autres, montrant que l'amour et la résilience peuvent guérir les blessures les plus profondes.

Yohaan, jeune écrivain, vit à New York. Il commence ses premières conférences et dédicaces suite à la sortie de son roman. De l'autre côté de l’Atlantique, Madison, jeune écrivaine elle aussi, vit à Bordeaux. Elle vient de publier son premier roman et démarre sa carrière d’auteure. Ils ne se connaissent pas et pourtant ils ont tous les deux un point commun. Entre écriture, rêve, imagination, leurs vies s'entremêlent et deviennent le reflet de l'un et de l'autre. Quelque chose rapproche Yohaan et Madison, sans savoir encore quoi et comment...

Anya se complaît dans sa vie. Lorsque l’opportunité d’une promotion professionnelle s’offre à elle, elle se retrouve mutée dans une nouvelle ville. Alors qu’elle cherche à se créer un autre cercle d’amis, la jeune femme tombe amoureuse d’un homme mystérieux et dangereux : Jürgen. Cet homme quarantenaire est très influent dans la ville et proche du pouvoir politique. N’écoutant ni son instinct ni ses amis, elle commence à le fréquenter. Mais très vite, sa vie bascule dans l’enfer… Peut-elle se sortir de cet engrenage ? À qui faire confiance autour d’elle pour l’aider ? La situation s’avère plus complexe que prévu…

Louise Lampire a passé deux ans dans une administration de proximité. Entre rencontres et complexités sociales, elle nous livre le quotidien des exclus de la dématérialisation et s’interroge sur les enjeux d’un accompagnement social solitaire ou solidaire. Le jour d’après est un pêle-mêle de portraits réels, suffisamment floutés pour être universels. Ces personnages se suivent et expliquent simplement pourquoi dématérialiser les administrations renforce l’isolement, accroît le non-recours aux droits et isole les espaces ruraux encore un peu plus de la grande spirale urbaine. Plusieurs thématiques sont ainsi abordées : les administrations, la place de l’argent, la précarité, l’illectronisme et la vie réelle. Véritable questionnement sur l’après, c’est un journal immersif dans un quotidien socialement précaire.

Paul Belvaux et ses compagnons de tranchées pensaient en avoir fini avec la guerre, mais ils sont à nouveau happés, incrédules, par l’Histoire qui, comme trop souvent, décide de se répéter. Avec Hans Haubrok, Allemand ayant choisi de vivre en France après la Première Guerre et qui est touché de plein fouet par ce nouveau conflit qui s’annonce, ils deviennent des acteurs engagés contre la folie et l’oppression. Comme ces milliers de héros anonymes de la Seconde Guerre mondiale qui, au mépris du danger, furent prêts à sacrifier jusqu’à leur vie et sauvèrent ainsi l’honneur de leurs patries respectives, Paul, Hans et leurs familles s’élèvent contre la barbarie, dans un combat qui les contraint à renoncer aux liens du sang et à faire des choix déchirants...

Le monde est un théâtre dans lequel nous jouons chacun un rôle. Nous sommes tous des comédiens sur une vaste scène, cherchant à persuader nos pairs que nous connaissons notre place dans cette pièce mesquine. Les rôles sont distribués / Les places sont données / Les décors sont fixés / Dans ce théâtre, je ne suis qu’une ombre, écorchée par la vie, je tombe inexorablement dans un puits sans fin, à chaque mètre que je fais, à chaque fois que la lumière se tarit, mon cœur se serre, j’attends simplement de toucher le fond, de sentir que ça y est, c’est terminé, que je peux simplement fermer les yeux, tirer le rideau sans saluer, parce que la pièce de théâtre est terminée.

Paul Belvaux et ses compagnons de tranchées pensaient en avoir fini avec la guerre, mais ils sont à nouveau happés, incrédules, par l’Histoire qui, comme trop souvent, décide de se répéter. Avec Hans Haubrok, Allemand ayant choisi de vivre en France après la Première Guerre et qui est touché de plein fouet par ce nouveau conflit qui s’annonce, ils deviennent des acteurs engagés contre la folie et l’oppression. Comme ces milliers de héros anonymes de la Seconde Guerre mondiale qui, au mépris du danger, furent prêts à sacrifier jusqu’à leur vie et sauvèrent ainsi l’honneur de leurs patries respectives, Paul, Hans et leurs familles s’élèvent contre la barbarie, dans un combat qui les contraint à renoncer aux liens du sang et à faire des choix déchirants...

Accablé par le harcèlement incessant de trois élèves de sa classe, Ethan prend la décision de fuguer. Son cœur lourd, il entame un périple solitaire, cherchant refuge auprès de la nature. La forêt devient son sanctuaire éphémère, les arbres séculaires sont alors les témoins silencieux de sa détresse. À mesure qu’il s’enfonce dans les bois, le monde extérieur semble s’effacer, laissant place à un calme précaire. Mais les ombres des arbres semblent porter en elles les voix moqueuses de ses tourmenteurs. La paix qu’il recherche lui échappe encore…

À notre naissance, un long périple nous attend. À l’école, lorsque nous grandissons, et plus tard en travaillant. Parfois confrontés à un quotidien chaotique, les journées sont vécues à cent à l’heure, au détriment de notre confort. Ce parcours atypique, Anne-Gaëlle, mère célibataire, le vit à chaque instant. Entre amour nocturne, vie trépidante de maman et bricoleuse d’histoires libertines, tout s’enchaîne à un rythme effréné… Entre rires et larmes, joies et drames, À nos cœurs endormis dépeint avec humour et légèreté la vie mouvementée d’une maman débordée… une vie au cœur endormi.

Le ton est badin puis se conforme aux énergies en confrontations. La Toscane pour cadre. Quatre personnes en villégiature, un quatuor dissonant dont les couples forment deux pôles d’intérêt existentiel exacerbés. Les valeurs de l’art y sont débattues, les valeurs humaines dans le même temps. Emprise métaphysique sur fond d’azur : en quels termes la profanation du réel par la « Grande réinitialisation » s’annoncera-t-elle aux contemplatifs contempteurs de l’insidieux pouvoir d’une caste se justifiant dans un fantasme autoritaire par le moyen de la technologie radicale ?