Il ne s’agit nullement d’une fantaisie, comme le titre pourrait le laisser supposer, mais bien d’un témoignage transcrit grâce à l’énergie de son désespoir. Dans cette confession, elle y raconte son quotidien, émaillé de joies éphémères et de peines multiples. Surtout, elle y lance un vibrant appel pour que nous retrouvions très vite le droit chemin, celui de la correspondance avec son cortège de belles lettres, qui l’empêchera de sombrer ainsi que ses consœurs. Car, avec la prolifération des technologies de l’information et de la communication, elle est intimement convaincue que leurs jours sont comptés. La nature, on le sait, a horreur du vide. Et les boîtes aux lettres plus que tout.
Quels corps, quelles femmes, quels imaginaires sont représentés dans les médias, les films, les plateaux de théâtre ? Comment y trouver une image de soi et s’y faire une place quand on est aux antipodes de la blancheur ? Dans une autofiction poétique, une actrice en proie à ses doutes fait le récit de la politisation de ses expériences personnelles et professionnelles, tour à tour émouvantes, drôles, tragiques et traumatiques. C’est le journal de son parcours que Sabine Pakora partage avec nous. Les personnages stéréotypés que nous y croisons interrogent les notions de standardisation et d’exotisation qui lui sont renvoyées. Se succèdent réalisateurs, directeurs de casting, tchipologue, prêtresse vaudou, femme de ménage, sans-papiers, prostituée… Des personnages hauts en couleur, délurés, dans des situations à la limite de l’absurde qui dressent un portrait de notre monde où l’altérité peine à exister.
Il ne s’agit nullement d’une fantaisie, comme le titre pourrait le laisser supposer, mais bien d’un témoignage transcrit grâce à l’énergie de son désespoir. Dans cette confession, elle y raconte son quotidien, émaillé de joies éphémères et de peines multiples. Surtout, elle y lance un vibrant appel pour que nous retrouvions très vite le droit chemin, celui de la correspondance avec son cortège de belles lettres, qui l’empêchera de sombrer ainsi que ses consœurs. Car, avec la prolifération des technologies de l’information et de la communication, elle est intimement convaincue que leurs jours sont comptés. La nature, on le sait, a horreur du vide. Et les boîtes aux lettres plus que tout.
Ça y est ! Raymond et Augustine sont sur la liste des bébés à naître cette année. Après quelques formalités, la cigogne peut enfin les amener sur Terre. Au cours d’un voyage mouvementé, les deux petits jumeaux prennent conscience des menaces qui pèsent sur notre planète.
« Salut ! Je m’appelle Milo.Je parle de la vie, de la mort, de l’amour dont j’aimerais dessiner les quelques lettres sur une feuille avant de partir. » Milo est un petit gars solitaire, entouré des plus belles personnes de son monde. Sa mère, ses sœurs, ses grands-parents et cette fille dont il est amoureux secrètement. Par son amour, il nous fait penser à une étoile s’étant perdue en chemin, à la vingt-septième lettre manquant à l’alphabet.
Les vacances en bord de mer débutent enfin pour Hélène et Ariane. Pour la première fois, les deux sœurs s'aventurent seules pour une longue randonnée, rythmée par la beauté de la faune et la flore locales. Durant leur périple, elles rencontrent Amel, perdue au milieu des dunes et persuadée d’accomplir un formidable voyage. Hélène et Ariane commencent alors à tisser des liens avec la jeune égarée, mais cette amitié naissante est mise à rude épreuve lorsqu’elles prennent conscience de la tragédie qui se joue sous leurs yeux… Odyssée vers l’inconnu est une invitation à la contemplation de la nature et à sa préservation, un récit humaniste respirant le partage et la bienveillance.
Quels corps, quelles femmes, quels imaginaires sont représentés dans les médias, les films, les plateaux de théâtre ? Comment y trouver une image de soi et s’y faire une place quand on est aux antipodes de la blancheur ? Dans une autofiction poétique, une actrice en proie à ses doutes fait le récit de la politisation de ses expériences personnelles et professionnelles, tour à tour émouvantes, drôles, tragiques et traumatiques. C’est le journal de son parcours que Sabine Pakora partage avec nous. Les personnages stéréotypés que nous y croisons interrogent les notions de standardisation et d’exotisation qui lui sont renvoyées. Se succèdent réalisateurs, directeurs de casting, tchipologue, prêtresse vaudou, femme de ménage, sans-papiers, prostituée… Des personnages hauts en couleur, délurés, dans des situations à la limite de l’absurde qui dressent un portrait de notre monde où l’altérité peine à exister.
1914, la première guerre mondiale éclate. Marcel et Henri qui ont toujours vécu dans le même mas en Provence tombent éperdument amoureux. Pendant que Marcel est sur le front, ils vont entretenir une relation épistolaire. En 1954, Henri, qui s'est entre-temps marié avec Pierrette, va essayer de fuir son passé et être enfin libre. Va-t-il réellement y parvenir ? Lorsque nous partons, seuls les souvenirs de nos sentiments demeurent, le reste, comme la vie et les guerres, est une illusion.
Ura se rend à l’École de la Connaissance à la demande de ses parents qui s’inquiètent pour son avenir. Il fait alors la rencontre de Veda qui va l’aider à comprendre l’importance des chakras – ces petites boules de feu qui permettent à l’énergie de bien circuler dans le corps –. Tous deux vont s’aventurer à les découvrir un à un et à apprendre à les libérer lorsqu’ils sont bloqués. À travers ce livre destiné à éveiller la conscience spirituelle des enfants, chaque lecteur est invité à expérimenter l’énergie des différents chakras et à appréhender des valeurs fondamentales comme l’empathie, l’amour de soi, le partage, etc. Il peut aussi observer son évolution intérieure au fil du temps par des exercices pratiques, quiz et méditations guidées.
Cet ouvrage, véritable recueil de citations et d’enseignements, s’adresse à tous ceux qui se remettent en question, à ceux qui sont en quête de sens, à ceux qui cherchent à se dépasser spirituellement et qui espèrent un monde meilleur. Nous sommes intimement convaincus que le monde d’aujourd’hui est le reflet de notre chaos intérieur et qu’il est urgent de se réveiller et d’agir pour offrir à nos enfants et petits-enfants non seulement une planète en bonne santé, mais aussi des valeurs de respect, de bienveillance et de solidarité. Mais changer le monde, c’est d’abord se changer soi-même… Oser s’aventurer vers plus de sagesse et élever sa conscience est la seule et unique solution pour sauver notre humanité.