Lecture très mitigée pour moi avec Catharsys de Didier Roth, publié aux Éditions du Net. Le début m’a franchement accrochée : l’univers intriguant, l’ambiance mystérieuse, la promesse d’un thriller aux accents fantastiques. Mais plus j’avançais, plus je perdais le fil... et mon intérêt. L’intrigue suit Fabien, enfermé dans un lieu inconnu où des médecins pratiquent sur lui de curieuses expérimentations liées à ses souvenirs. Très vite, la frontière entre réalité et illusion devient floue. Ces souvenirs sont-ils vrais ? Inventés ? Fabien lui-même semble perdu, et moi avec. Je me suis retrouvé

Bon, bon, bon. L’heure est grave. J’ai lancé mon Bookstagram fin janvier et enchaîné pas mal de lectures. Mais c’est la première fois que j’attribue une seule étoile à un service presse. Il fallait bien que ça arrive un jour… et pourtant, mille questions me traversent l’esprit : Comment va réagir l’autrice ? Pourquoi je ne vois aucun avis négatif ? Suis-je la seule à ne pas avoir accroché ? Ce n’est jamais évident de publier une chronique quand on n’a pas apprécié sa lecture… L’histoire nous plonge dans un monde ravagé par une étrange maladie qui décime des villages entiers. Palmyre et Abaka

Une lecture douce et envoûtante, imprégnée des parfums de la forêt et de la magie des étoiles. J’ai mis du temps avant d’être totalement emportée, je l’admets. Les contes, riches en métaphores, m’ont parfois semblé complexes, peut-être un peu trop à mon goût. Pourtant, j’ai adoré les réflexions et questions que l’autrice glisse à la fin de chaque récit, les reliant subtilement à la vie et à notre propre cheminement. Ce livre aborde de nombreux thèmes profonds : l’identité, le regard des autres, l’égocentrisme, le vide intérieur, la tristesse… mais aussi la joie, l’unité et l’acceptation de s

Dès la réception de ce petit livre, j’ai pris le temps de plonger dans son univers avant de le lire à ma fille. Bien qu’encore trop petite pour comprendre l’histoire, elle m’a gratifiée de beaux sourires, ce qui est un point très positif ! L’histoire est simple et touchante, mettant en avant une belle amitié qui dépasse les différences, ici entre un petit garçon et une serpente. Le texte est minimaliste, laissant une large place aux illustrations. Ces dernières sont visuellement attrayantes, très colorées et captivantes pour les enfants. Cependant, elles m’ont semblé manquer d’une certaine c

Nous plongeons dans les pensées d’une jeune fille, découvrant son hypersensibilité, l’amour, la séparation, le deuil d’une amitié et d’un amour. Difficile de noter un livre aussi personnel. Je l’ai lu très vite, j’ai apprécié cette fluidité qui m’a donné envie de le lire d’une traite, ainsi que le côté un peu “adolescent”. Si certains poèmes m’ont touchée, d’autres m’ont semblé plus répétitifs et peut-être moins incarnés, avec par moments un côté un peu impersonnel, ce qui a rendu ma lecture parfois plus distante. C’est néanmoins un livre touchant, dans lequel il est facile de se retrouver.

Quelle découverte agréable ! J’ai été en haleine durant toute la lecture, je l’ai d’ailleurs dévoré, j’ai lu 165 pages d’un coup, j’ai pris un peu de temps sur mon sommeil, avant de le terminer dans la matinée. J’ai l’habitude de lire des thrillers, du coup, j’ai vraiment été impressionnée par la rédaction de celui-ci. Écriture très fluide, on n’a pas envie de s’arrêter, les personnages sont bien développés, et nous pouvons nous prendre d’affection pour certains. J’ai notamment mené ma propre enquête, et je ne suis pas peu fière d’avoir découvert avant la révélation, qui était l’intru ! Poi

J’adore les recueils de nouvelles, il faut que je vous le dise ! Alors, quand j’ai vu ce livre, j’ai sauté sur l’occasion ! Seulement, je n’ai pas su m’immerger totalement dans le bouquin. Certaines nouvelles étant, pour moi, un peu éparpillées. Je m’y perdais légèrement. L’écriture me paraissait difficile à comprendre (je devais revenir assez régulièrement en arrière), un petit manque de fluidité pour ma part. La figure de style m’a moyennement plu (propos alambiqués). Cependant, j’ai apprécié la première et la dernière, parlant d’un serial killer, et d’un monde où il ne reste qu’une ville.

Hugues, ancien flic s’étant fait virer pour violence à répétition, dont plusieurs assassinats lors de l’exercice de ses fonctions. Bizarrement, cela aura pris dix années pour le virer. Étant sans emploi, il souhaite comprendre ce qui l’a mené là : pourquoi une telle violence depuis l’enfance, une envie si fulgurante de sang, et de tuer, même des innocents ? Nous allons dans les méandres de son esprit torturé et névrosé, faisant de lui un psychopathe. J’ai lu ce livre rapidement, mais j’ai eu plus de mal à me mettre dans l’histoire. La rédaction est, à mon humble avis, à retravailler afin qu’

Lecture des plus agréables ! La narration est fluide, j’ai particulièrement aimé les dialogues, où j’ai pu imaginer chaque mimique des personnages tellement c’est bien détaillé ! Dans un petit village, en pleine période de Noël, Monsieur Lemoine meurt d’une façon plutôt rocambolesque. Mais que se cache-t-il derrière cela ? Célia, jeune libraire avide de nouvelles aventures et de mystères, va jouer aux détectives en herbe (ou au casse-cou professionnel). Accompagnée de Victor, journaliste, ils vont enquêter sur cette mystérieuse mort, et découvrir un secret bien plus grand qu’ils ne pouvaient

Me voilà absolument bouleversée par cette lecture. J’en ai même versé une larmichette, et pour tout avouer, c’est très rare ! J’ai déjà été émue, bien entendu, mais rarement au point d’en pleurer. Nous plongeons dans l’immense tristesse d’Arnaud, alors jeune adolescent, qui perd du jour au lendemain, l’amour de sa vie, Amandine. Une perte qui va résonner durant très longtemps au fond de son cœur, qui va lui couper le souffle, et à l’instar d’Amandine, il deviendra le propre fantôme de sa vie durant des années. Il va camoufler ce trou béant dans la poitrine pour feindre une vie banale et sans