Au début, j’avoue que j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire. L’auteur utilise parfois des mots et des phrases en arabe qui ne sont pas traduits. Bien sûr, cela n’empêche pas la lecture mais j’ai eu un petit moment d’adaptation. Finalement, ça donne même une couleur particulière au récit et une authenticité qui renforce l’ambiance. Puis, au fil des pages, quelque chose s’est produit : je me suis laissé absorber et j’ai commencé à vraiment m’attacher, à me poser des questions et à m’immerger dans l’univers de ce triller psychologique. J’ai été surpris, dans le bon sens du terme, par l